Défi 28 jours sans alcool. Avec qui le ferez-vous?

28 jours sans boisson, voici la nouvelle mode du mois de février. Découvrez pourquoi vous devriez le faire.

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Chaque mois de février, des milliers de gens se lancent le défi de ne pas consommer de boisson pendant 30 jours. Cette belle initiative de la fondation Jean-Lapointe « invite les gens à prendre conscience de la place qu’occupe l’alcool dans leur vie tout en faisant le plein d’énergie en cessant leur consommation d’alcool durant le mois de février. »

L’alcool prend beaucoup de place dans la société et est un problème pour bien des gens, car elle crée une dépendance. Les soirées un peu arrosées deviennent parfois une roue interminable qui détruit la santé.

 

1. Le défi

Rien n’est impossible quand on le veut!

Le défi est simple : du 1er février au 28 février, vous n’avez pas le droit de consommer une goutte d’alcool. Vous pouvez même en faire un défi de groupe, un défi familial ou amical.

Après 28 jours :

  • Vous aurez plus d’énergie
  • Vous serez plus heureux
  • Vous aurez une meilleure mémoire et votre temps de réaction sera plus rapide
  • Vous aurez plus d’argent dans vos poches
  • Vous aurez moins de maux de tête
  • Vous serez plus productif

Découvrez d’autres raisons qui devraient vous pousser à faire ce défi en cliquant sur suivant dans le haut de la page.

2. Le lendemain d’une grosse soirée

Vous avez pris un coup la veille et vous vous réveillez un peu déboussolé. Voici ce que votre corps subit :

  • Votre estomac et vos intestins tentent d’éliminer l’inflammation qui se trouve dans les muqueuses de votre estomac.
  • Votre corps a perdu plus de 1000 ml d’eau et vous vous sentez complètement déshydraté.
  • Vous avez de la difficulté à rester éveillés, car vous avez surproduit des glutamates (stimulant) qui ont troublé votre sommeil.

En gros, vous avez mal dormi, vous êtes fatigué, vous êtes déshydratés ce qui cause probablement des maux de tête et vous avez l’estomac à l’envers.

Évitez cette situation pendant 1 mois!

3. Les problèmes associés à l’alcool

  • Cancérigène

Le développement du cancer et la consommation ont une corrélation positive selon plusieurs études. Les cancers les plus communs sont ceux de la gorge, du cerveau, de l’œsophage, du foie et du sein. Le national Cancer Institute a une équipe de recherche qui tente de démontrer ce lien à l’aide d’examen approfondi. Une chose est certaine, plusieurs chercheurs sont persuadés qu’il y a un lien précis entre l’alcool et les cellules cancéreuses.

  • La cirrhose

La cirrhose est une maladie du foie très grave, voire mortelle. Cette maladie est souvent associée à l’abus d’alcool et est très douloureuse. Lorsqu’on développe cette maladie, il faut souvent finir sous les scalpels des médecins pour s’en sortir.

  • Régénération osseuse

L’alcool affecte tout notre corps, même notre pancréas. Ce dernier, à long terme, développe une difficulté à absorber le calcium et la vitamine D. Le pancréas et le foie sont nécessaires pour le processus d’absorption des vitamines et du calcium. Sans leur participation active, vous pouvez développer des problèmes graves avec vos os.

  • Le cerveau

L’alcool diminue nos fonctions cérébrales, c’est pour cette raison qu’on perd souvent la mémoire ou qu’on réfléchit moins avant d’agir. À force de jouer avec notre cerveau, on l’endommage. Ce dernier perd rapidement sa capacité à bien se souvenir et bien analyser.

L’alcool est aussi responsable de plusieurs dépressions. On boit et on se sent mieux, mais dès qu’on arrête, on retrouve nos vieux problèmes et on se sent déprimé. On finit par vouloir retrouver notre bonheur, donc on boit… de plus en plus. C’est une roue qui tourne et dans laquelle on peut facilement se perdre.

4. Vin blanc et cancer de la peau

L’Université de Brown a réalisé une étude sur 200 000 personnes qui a duré 18 ans. Cette étude a montré un lien entre la consommation d’alcool et le risque de développer un cancer de la peau.

En consommer chaque jour augmenterait les risques de 14 % chez chaque personne. Dans la course au vin le plus dommageable, c’est le vin blanc qui gagne les plus hautes statistiques de risques. Sa forte concentration en acétaldéhyde endommage l’ADN et diminue les risques de réparation par le corps.