Les analystes qui testent un large éventail de ces jouets pour enfants bien connus, les « fidget spinners », ont trouvé une mesure perturbatrice des contaminants létaux qui pourraient être mortels entre les mains des enfants.
Les spinners, qui utilisent des billes et des arêtes des pointes pour pivoter, sont souvent créés à l’étranger, dans des pays qui n’exécutent pas de contrôles de qualité stricts. À l’heure actuelle, les scientifiques ont déclaré que les jouets peuvent contenir des quantités dangereuses de plomb s’ils ont été fabriqués en Chine, par exemple.
Cette précaution n’affecte pas la plus grande partie des spinners. Le problème, c’est que nous ne pouvons pas indiquer quels jouets sont touchés.
Étonnamment, puisqu’il n’y a pas de licences conservant cette génération de jouets, n’importe qui peut les produire à partir de n’importe quel endroit.
Ce qui doit encore être prouvé
Rubin, une avocate autonome de la défense, a d’abord testé trois spinners qui lui ont été envoyés, avec un instrument XRF, qui analyse les rayons X fluorescents. Deux étaient sans plomb, mais le troisième avait des quantités anormales de plomb et de mercure. Elle a ensuite démantelé un spinner avec des lumières LED et a découvert à la fois le plomb et le mercure. Elle a découvert 19 000 sections pour chaque million (ppm) de plomb et 1 000 ppm de mercure.
Ces chiffres se calment, car les chercheurs considèrent que moins de 90 ppm représente la protection des jouets de jeunes, comme l’a indiqué Rubin. Quoi qu’il en soit, la peinture sur le spinner à lumière LED contenait 334 ppm de plomb et 155 ppm de mercure dans un test. La base métallique non peinte contenait 1,562 ppm de mercure et 2 452 ppm de plomb.
Rubin a ensuite essayé six autres spinners et en a trouvé un de la compagnie Yomaxer, qui se vend 31$, qui contenait 42 800 ppm de plomb. Elle a noté que les acheteurs standard n’approcheraient pas un instrument XRF, qui peut coûter environ 50 000$. Elle soutient donc l’idée qu’il serait préférable de ne pas toucher aux spinners qui sont accessibles dans les magasins et de plutôt confectionner le vôtre à la maison, par exemple avec des Legos.
En une seule semaine, 200 000 unités du jouet répandu ont été saisies par les autorités des traditions de l’UE pour négligence face aux normes de bien-être fixées par l’Union. Les parents devraient faire quelques recherches à savoir qui a fabriqué le jouet qu’ils achètent pour décider si ce dernier est sécuritaire pour leur enfant.
Source: Healthy Living Style
